E Par Le Gardien DImmeuble
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Marielle mavait prêté son immense duplex pour une semaine. En plein cur du 16eme arrondissement, je pouvais donc profiter de quelques jours Parisien composés de shopping et visite de courtoisie à de vielles amies de collèges. Lappartement était magnifique, et limmeuble très chic. La gardienne avait était charmante maidant à monter ma valise, et mavait donné quelques indications sur la vie de limmeuble. Nous avions sympathisés et je lui avais promis de venir boire un thé en fin daprès midi le lendemain. Après une journée harassante de shopping je rentrais enfin à lappartement et marrêtais chez la gardienne. Nous bûmes le thé lui racontant ma journée. Autant la gardienne était charmante, autant son mari était désagréable. Petit trapue, un bleu de travail plus que douteux, et une cigarette à la bouche (ces vieilles gitanes que les certains hommes mâchonnent en permanence). Peu importe, je pris congé et rentrais pour me préparer, étant invitée chez Georges et Sylvia. Je me mis sur mon trente et un, la soirée se voulant mondaine. Georges avocat au barreau de Paris, avait sûrement invité du beau monde. Presque entièrement prête, vêtue de mon ensemble Saget ce modèle hiver « Graffiti » faisant ressortir mes formes plantureuses ainsi que mes bottes en veau noires Châtelaine Jane Christie, jétais assurée du succès. La grande et longue jupe en coton gris mettait mes courbes en valeur et mon pull en imprimé blanc et noir faisait ressortir ma poitrine voluptueuse. Jallais terminer de mettre mon rouge à lèvre quand la lampe de la salle de bain claqua. Ne sachant comment réparer jappelais la gardienne qui menvoya son mari. Il sonna quelques minutes après mon coup de téléphone, toujours affublé de son bleu de travail et son éternel gitane au bec. Comment une si charmante dame pouvait vivre avec un bonhomme aussi repoussant. En ouvrant la porte il me dévisagea des pieds à la tête dune manière tout à fait indécente.
Il changea lampoule, et redescendit de son tabouret.
- Voila belle dame cest réparé.
- Merci beaucoup, je ne savais pas ou se trouvent les ampoules
Il sapprocha de moi regardant fixement et avidement mes seins. La salle de bain était exiguë et je me sentais très mal à laise. Coincée par le lavabo je lui dit.
- Merci je vous raccompagne et remerciez votre femme aussi
- Attendais on a le temps, rien qui presse belle dame
- Excusez moi je suis assez pressée.
- OK je connais le chemin
Il sorti de la salle de bain, ainsi que de lappartement. Soulagée je continuais à me maquiller, ce petit bonhomme était vraiment monstrueux. Au bout de quelques minutes, Je sentis une présence derrière moi. Il était la, et me regardait me maquiller. Il avait les clés !!!!
- Mais que faites vous la ? Déclarais-je furieuse.
- Jattends ma récompense
- Mais vous êtes complètement fou, sortez avant que jappelle la Police
- Pas avant davoir été rétribué, tout travail mérite salaire.
Prestement il sétait rué vers moi, me saisissant par la taille par ses mains sales, et essayant de membrasser. Je me débattais, le frappant de mes mains. Malgré sa petite taille il était dune force colossal. Il me retourna comme une crêpe et me pencha contre le lavabo. Avec mes jambes jessayais de lui donner des coups de pieds mais emprisonnées dans ma jupe fourreau cela navait aucune portée. Je protestais vainement le menaçant de crier si il ne me lâchait pas.
- Lâchez moi ou je vais hurler
- Tinquiète pas salope cest bien insonorisé ici personne va tentendre
Il sorti de sa poche un chiffon quil plaça dans ma bouche afin de me bâillonner. Ramenant ensuite mes mains dans le dos il me menotta. Il avait tout prévu et préméditait son acte. Jétais donc à sa merci ! Une fois attachée et bâillonnée il me retourna.
- Une belle jument comme toi ça doit dabord se faire dresser.
De son sac il sorti une cravache et un martinet. Laissant le martinet de coté, il prit la cravache dans la main. Tenant la laisse comme une longe, il me faisait tourner autour de lui, me menaçant de sa cravache. Des petits coups saplatissaient sur mes cuisses quand mon rythme faiblissait. Jétais rouge de honte, il me traitait comme une pouliche lors dun dressage, mais de quel droit ! Sentant un relâchement, jessayais de courir vers la porte, mais il me retira immédiatement par la laisse me ramenant vers lui.
- Alors belle pouliche on se rebelle, attends on va passer à létape suivante du dressage.
Il releva ma longue jupe. Nos étions debout lun contre lautre, face à face, il remontait ma jupe dévoilant mes bas et mes porte-jartelles noirs achetés le jour même. Cette nouvelle collection « Autrefois Autonome » de Ravage était délicieuse. Révélant mes fesses, il les palpa fermement à travers la dentelle de mon Tanga. Je sentais son haleine fétide près de moi sétait répugnant. Il retira sur la laisse de plus belle. Fesse à lair je tournais autour de lui, qui fermement mappliquait des coups secs avec sa cravache sur mes fesses dénudées juste protégées par la soie fine de ma culotte.
- Cest bien, tu vas payer pour ton arrogance grosse poufiasse, jadore humilier les bourgeoises. Ta copine elle prend sa correction une fois par semaine. Une fois même je lai vendu aux enchères à des anciens collègues de lusine, elle en a prit plein la rondelle. Mais toi cest pas pareil, tes du premier choix, la grande classe, on va bien samuser tous les deux.
Il avait remplacé sa cravache par le martinet et mappliqua de grand coup sur les fesses. Je criais sous mon bâillon, en vain, essayais de me rebeller, mais de son autre main il me maintenait par les cheveux, tirant comme sur la crinière dun cheval. Au bout de plusieurs minutes de ce châtiment musclé, je le vis prendre un objet dans son sac. Non pas ça ! Il sagissait dun godemiché noir aux dimensions impressionnantes. Il allait me violer en utilisant ce gode majestueux.
- Il fait 20 cm de long et 4 cm de diamètre, cest comme une grosse bitte de black tu vas voir ça va te rendre folle, surtout quand ça commence à vibrer.
Il mintroduit son appareil dans le sexe, écartant ma culotte, a mis parcours il brancha, ce qui eu pour effet de remuer en moi. Cétait la première fois que je me trouvais dans une telle situation et la honte et la peur commençaient à se transformer en excitation. Laissant son gode soccuper de mon vagin, il me palpa des ses mains sales mes seins.
- Pendant que ma petite machine te baise, je vais moccuper de tes grosses mamelles, montre moi un peu ça.
De ses deux mains, il palpa mes seins au travers mon pull, comme un barbare. A genoux devant moi sur le canapé, ses mains sétaient saisies de mon opulente poitrine qui pendait au rythme des mouvements que son appareil générait en moi. Je me sentais partir sans aucune défense, et une fois de plus cette faim de désir et de soumission menvahissait.
- Cest bien tes une bonne lécheuse, butine moi bien grosse cochonne, une fois que je taurais bien baisé la bouche jirais moccuper de ta petite chatte. Je suis sur que tu es toute étroite, pourtant gaulé comme tes, tas du te faire démonter la rondelle plus dune fois hein salope
Il sappliqua à me baiser la bouche avec force, toujours maniant son martinet sur mes fesses, et me tirant les cheveux afin de me faire ressentir encore plus mon humiliation. Sa machine me faisait jouir comme une folle, jallais devenir hystérique à ce rythme. Comment aurais je pu imaginer 15 minutes auparavant me faire prendre comme ça avec une telle violence par ce bonhomme hideux et répugnant qui jouait de mon corps comme il lentendait.
- Tes bonne, ohhh, jamais je me suis fais sucer par un tel canon, continue
. Lèche moi avec ta langue le long de mon sexe. Bouge moi aussi ton gros cul pendant que tu me suces. Je veux te voir te dandiner
.. Oui comme ça cest bien tes une bien docile ma belle chienne, continue de remuer ton gros cul de gauche à droite cest bien. ohhh quelle chaudasse, narrête pas de remuer tes fesses salope
Comment un si petit bonhomme pouvait avoir un sexe aussi long. Le gode qui menvahissait la chatte était plus petit sans aucun doute
Ma langue courrait le long de son membre. Léchant ce bâton de chair dressé fièrement devant moi. Passant sur son gros gland baveux et fouillant son bout, de ma langue, aspirant à nouveau son membre de mes lèvres comme un adolescent appliquant un suçon à sa petite amie. Ses gémissements résonnaient dans lappartement, pour sur jamais on ne lavait sucé de la sorte.
- ohhh mais tes vraiment une experte avec ta langue la bourgeoise, arrête maintenant sinon je vais tout te lâcher. On va voir ce que tu sais faire avec tes fesses.
Il se releva, passa derrière moi et retira son gode pour le remplacer par son membre à la taille démesurée. Dun coup dun seul il me pénétra jusqu\\\'à à la garde. Libérer de mon bâillon de latex et remplie par son bâton de chair je gémissais comme une chatte
- Oui prenez moi maintenant faites moi jouir, je suis à vous
.
- Cest ça la bourgeoise, javais raison tes toute étroite, je suis tout serré, tu dois pourtant te faire baiser souvent. En plus tu fais ta timide mais on voit que tadores une bonne grosse bitte.
- Oui, je vous en prie baisais moi, je suis votre grosse cochonne
Il me baisa comme une folle, alternant les vas et vient rapide et lent, sortant pour me pénétrer de plus belle. Me tenant par la laisse jétais à lui entièrement et il le savait. Au bout de plusieurs minutes, il se redressa, et me tira par la laisse. Il se dirigeait vers le pallier extérieur. Jessayais de résister.
- Viens je vais te finir dans lascenseur, à cette heure on devrait pas être dérangés.
Tous les deux sur le pallier moi menottée et attachée avec une laisse, mes seins découverts mes fesses de mêmes nous attendions lascenseur. Nous entrâmes dedans, il appuya sur le bouton de la cave. Pendant que lascenseur descendait, il membrassait goulûment. Sa langue pénétrant au plus profond de ma bouche cherchant à sentortiller dans ma langue. Sa main me caressait la chatte me malaxant mon sexe, pénétrant un doigt puis deux remuant au fond de moi, pendant que son autre main soccupait de mes gros seins, les malaxant comme un boulanger malaxe sa patte, tirant sur mes tétons dressés dexcitation. . Une fois en bas il sorti mentraînant par la laisse. Nous étions dans la cave. Je le suivais tirée par cette corde toujours fermement accrochée à mon collier. Il me fit pénétrer dans une cave obscure et sale remplie de carton alluma le plafonnier. Il me poussa contre le mur ou des anneaux étaient scellés dans le mur. Défaisant mes menottes, il les rattacha aux anneaux. Ses mains se remirent à parcourir mon corps, mes seins mes fesses mon sexe. Ce nétait pas des caresses mais des palpations comme on palpe un animal pour contrôler sa qualité. Il me pénétra à nouveau. Me tenant par les hanches il me défonçait avec vigueur, cet homme était une vraie machine. Il sortait son sexe entièrement et samusait à me re-pénétrer à nouveau, il continuait à me limer comme une poupée de chair, jétais son jouet, mon corps son terrain de jeu, à son entière merci. Il me décrocha des anneaux et me plaça à 4 pattes sur les cartons. Je sentais son sexe sapprocher de lentrée de mon anus. Il allait me sodomiser. Dun coup sec il senfonça en moi sans précaution. Son sexe tellement lubrifié entrant en moi comme dans du beurre.
- Cest beau de te voir comme ça grosse salope je veux que tu mexcites en parole maintenant, parles moi, et soit grossière jadore les bourgeoises qui sont grossières
- Ohhhh non, je ne veux pas, je naime pas ça, je ne connais pas de mot, sil vous plait.
- Tu vas le faire ou sinon je vais chercher mon chien et cest lui qui va te grimper
- Je suis une cochonne, qui aime faire lamour. Sa main sabattit sur mes fesses
- Recommence ou tu vas déguster
.
- Je suis une salope de bourgeoise qui aime se faire défoncer. Prends moi comme une grosse chienne, lime moi de ton gros dard, humilie moi, souille moi, oui je sens ta bitte au fond de mon gros cul
ohhhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhh
Je nen pouvais plus, jétais complètement déchaînée, cest coup de butoir me rendait folle, je ne me contrôlais plus enchaînant les insultes, toujours pressée par les vas et vient interminables de son sexe. Il allait jouir je sentais la pression venir.
- Bouge ton gros cul salope de bourgeoise je veux sentir ta croupe remuer. Je vais te gicler dans les bas et tu iras à ta soirée avec mon sperme collant tes bas à la peau. A lodeur tout le monde saura que tu tes fait baiser. Mais avant tu vas me sucer une dernière fois de ta bouche de pute.
La fin était proche, cette situation extraordinaire mavait fait perdre le contrôle de mes sens. Je me mis à le sucer frénétiquement afin de faire sa jouissance plus vite, mes mains toujours attachées tenant son membre dégoulinant. Il sexécuta enfin. Il me releva et écartant mes bas il gicla son sperme sur ma cuisse, sessuyant sur la soie. Je dus lécher la dernière goutte.
- Alors, ça ta plus, ce petit scénario ?
- Ohhh merci, Marielle mavait prévenu que vos scénarios étaient fantastiques, pourrons nous recommencer avant la fin de mon séjour. Je vous réglerais comme convenu bien sur.
- Avec le cul que tu as la bourgeoise je te ferais un bon prix la prochaine fois. En attendant tu mets ton manteau et interdiction de te changer tu vas chez tes potes comme ça. Une fois la bas tu devras allumer les mecs comme une vrai pute, je veux que tu les excites et il faudra que tu te fasses baiser jusqu\\\'à ce que tu es du sperme dans lautre bas. Quand tu reviendras tu téléphoneras à nouveau chez moi pour un autre problème. Je monterais pour vérifier.
Il me libera et sassura que je ne me changeais pas avant de me laisser partir chez Marielle. Dans le taxi je mempressais dappeler mon amie afin de la remercier pour cette mise en scène très réussie.
Il était 1 :00 du matin quand je rentrais de chez Marielle. Jétais épuisée la soirée ayant été très animée. Au vu de lheure tardive je nosais pas trop téléphoner au gardien. Ce ne fut pas nécessaire. Il sorti de la loge et magrippa par le bras mentraînant dans la cabine en verre. Il mattendait
- Viens ici cochonne que je vérifie si tu as bien obéis à mes ordres
- Il est tard et on va réveiller votre femme, laissez moi partir.
Ne mécoutant pas, il releva ma longue jupe, afin de vérifier. Son sperme avait collé mes bas sur ma peau laissant des traces blanchâtres sur le nylon. Il aperçu sur lautre coté les mêmes traces encore humide et constatait que mon bas était déchiré. Remontant entièrement ma jupe il sexclama en apercevant mon Tanga entièrement déchiré à lentre jambe.
- Mais dis donc ça a été drôlement chaud !!! Raconte moi tout salope et je veux tous les détails.
Coincée à 1H00 du matin dans la cabine en verre de la concierge, jupe remontée, recouverte de sperme, culotte déchirée, mes fesses assises sur la tablette tournant le dos au couloir, jallais devoir re-subir les assauts du gardien. Une de ses mains était descendu sous les restes de ma culotte, tandis que lautre était passée en dessous de mon pull.
- Mais dis donc il y a du sperme entre tes grosses miches, apparemment tu tes pas fais mettre quune seule fois. Raconte moi salope ce qui cest passé et branle moi en même temps.
Essoufflée par ses caresses musclées, je me mis à lui raconter
- Quand je suis arrivée il y avait une dizaine de personne. Jai bu un peu de champagne avec un groupe dhomme, il y en avait un qui me draguait. Je lai excité en passant ma langue sur mes lèvres plusieurs fois. Il souri et me glissa à loreille que jétais très désirable me demandant aussi daller lattendre dans les toilettes. Je me suis rendu dans les toilettes. Il ma rejoins quelques minutes plus tard, et ma embrassé très fort passant sa langue dans ma bouche, me caressant les seins. Il ma assise sur les toilettes et ma placé son sexe dans la bouche que jai léché. Je lai léché quelques minutes et il a relevé mon pull et ma demandé de lui faire une cravate de notaire. Il sest masturbé entre mes seins et na pas pu se retenir. Il ma joui entre les seins.
- Tas aimé ça grosse salope quil te gicle entre tes deux grosses miches, je timagine dici. Continue quas-tu fait après.
- Nous avons commencé le repas, et pendant le repas jai fait du pied à Robert le mari de Marielle. Je sais quil me désire depuis longtemps. Nous navons pas réussi à nous isoler. Il ma proposé de me raccompagner, vu lheure tardive et jai acceptée. Dans la voiture pendant quil conduisait je lai sucé. Il a ensuite arrêté la voiture à quelques pâtés de maison, nous sommes passés derrière et il ma prit en levrette me déchirant ma culotte en deux. Il a vu que javais du sperme dans mon bas. Il ma baisé fort en minsultant me traitant dusine à foutre, de garage à bitte. Sa bitte ma défoncé. Il ma dit quil allait jouir, je lui ai demandé de jouir dans mon autre bas. Comme il me tenait fermement il a aussi déchiré mon bas avant de jouir. Il ma ensuite déposé devant limmeuble
- Cest bien tes une bonne docile. Tu as mérité une dernière gâterie. Retourne toi je vais te finir.
Le gardien me retourna et fini de déchirer le peu de tissu qui restait de mon Tanga tout neuf. Son sexe énorme rentra en moi à nouveau, tout en conservant mes mains soupesant ma grosse poitrine.
- Alors re-bouge mon ton gros de cul de bourgeoise, ma cochonne, tu sais que ça mexcite.
- Oui cest bon ohhh, je vous en prie jouissais vite, je nen peux plus
..
- Oui ma belle cest bon comme ca tas raison je vais pas pouvoir me retenir longtemps tes mamelles pleines de spermes et ton histoire ça mexcite de trop
Ca vienttttttttttttttttttttttttt
..
Il jouit sur mes fesses tout le liquide qui lui resté, et essuya son sexe sur ma jupe de grande marque. Il mapplique une grande claque sur les fesses.
- Rhabilles toi, va te coucher et à demain
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